J’ai trouvé la chronique d’Anne Rosencher dans la matinale de France Inter de jeudi dernier particulièrement juste dans le ton et belle dans la forme. La conclusion est limpide, je cite :
Et c’est ce que l’addiction de masse aux téléphones portables nous fait oublier. Elle nous fait oublier que l’amabilité et la connivence impromptue sont ce qui reste, à la fin, pour déjouer les préjugés et le ressentiment auxquels les algorithmes mettent le feu.
Anne Rosencher décrit ce que j’ai envie d’appeler « les vertus de la fortuité ferroviaire déconnectée ».
La transcription de l’ensemble de la chronique et l’écoute en replay sont disponibles sur le site Web de Radio France :
L’art de s’éviter en société : quand les smartphones nous citadellisent